Vicky Houston - Life is like a beautiful picture... or not.

Date et Lieu de naissance : dans la nuit du 11 au 12 janvier à New-York
Statut : célibataire, 23 ans, toutes ses dents
Profession : peintre
Caractère : Vous verrez toujours Vicky avec un sourire aux lèvres. Pour rien en plus, le jour qui se lève encore, une personne qu'elle apprécie croisée de bon matin, etc. D'une patience d'ange, elle entretient son côté artiste, étant capable de rester des heures sans bouger pour améliorer une toile ou chercher l'inspiration. Cependant, comme tout artiste qui se respecte, elle ne déroge pas à la règle accumulant la notion de désordre incurable et de tête en l'air patentée. A la fois discrète et serviable, elle sait aussi bien se faire oublier que se faire entendre dès que quelque chose ne va pas. Le laxisme de ses parents l'a poussée à rechercher la reconnaissance chez les autres même si elle se montre régulièrement distante, elle ne cultive pas la froideur et est généralement très directe avec les autres. Pourtant, cette tête de mule éprise de liberté, cache généralement son vrai visage derrière un cynisme affligeant.

Si vous étiez un regard ? celui qui se perd à l'horizon, mystérieux et intouchable.
Si vous étiez une odeur ? celle du lilas, doux et entêtant.
Si vous étiez un toucher ? celui du fusain sur la toile, soyeux et précis.
Si vous étiez un son ? celui de la pluie sur des vitres, délicat et fascinant.
Si vous étiez un goût ? celui de la pomme, acide et frais.

Citation :

– The beginning :

Je suis née sous de bons auspices comme aimait dire ma mère entre deux joins et quand elle était encore à peu près lucide. Il est vrai que normalement je n’ai pas de quoi me plaindre mais quand même. Reconsidérons les choses depuis leurs origines : j’ai vu le jour dans la chambre de mes parents, non pas à l’hôpital mon père n’ayant qu’une confiance relative en la médecine et puis, les femmes autrefois accouchaient avec seulement une assistante. C’est une sage-femme amie de la famille qui vient aider ma mère. Quand j’ai poussé mon premier cri, de légers flocons tombaient à l’extérieur, ce qui est logique ou presque pour un début janvier, mais encore aujourd’hui je me demande si mon père les a réellement vu ou simplement imaginés….

- Chilhood and girlhood

Le choix de mon prénom a du se jouer à pile ou face, non mais sérieusement ! Victorina vous en connaissez beaucoup ? Moi pas ! Et en plus les gens que l’on rencontre trouve toujours le moyen de l’éccorcher : Victoria, Victorine, Victorinella même un jour. Je crois que j’ai fini par en avoir assez de supporter ce tout et ce n’importe quoi. Depuis c’est Vicky. Seul mon père se permet le Victorina Sarah et ma mère se contente du Victorina, enfin quand ils se rappellent qu’ils ont une fille et ça ils ont eu tendance à l’oublier assez tôt en réalité. Ça a commencé par les nourrices qui s’enchaînait auprès de mon berceau jusqu’à ma chaise haute. Puis il y a eu l’école et d’ailleurs, si j’avais pu y dormir je l’aurais fait. Je n’étais une élève extrêmement douée mais je n’avais pas un niveau trop mauvais. Pourtant, la réelle raison qui me faisait adorer l’école s’était que l’on s’occupait vraiment de moi là-bas. Et l’époque était belle car bien que le manque provoqué par l’absence chronique de mes parents laissait un trou béant dans ma dépendance affective, je ne savais pas encore à quoi je devais cette absence.

Cela est venue en grandissant. Arrivée au collège, on ouvre les yeux parfois brutalement. Heureusement ce ne fut pas vraiment mon cas. Je me doutais déjà de quelques choses. Quand on entend malgré soi les conversations des adultes qui nous entoure. Je me rappellerais toujours ce soir où mes parents m’avaient oublié à l’école, l’unique jour où la nourrice ne pouvait pas venir et avait prévenu. Vaine prévention. J’ai entendu alors la directrice dire à mon institutrice : « la pauvre enfant, ils l’ont oubliée. Remarquez, avec les parents qu’elle a, elle est pas gâtée. » De simples mots qui avaient fait retentir une alarme dans ma tête et m’avaient ensuite poussée à chercher le pourquoi du comment.

- Open up your eyes, little girl :

Je savais que mes parents étaient des artistes et je dois avouer que j’avais pour eux une sorte de fascination incroyable. J’adorais passer des heures à contempler les œuvres de mon père, un sculpteur émérite et je sais faire la différence entre l’homme et le père. J’adorais tout autant les sorties que les gouvernantes prévoyaient pour que je puisse voir ma mère jouée au théâtre. Jamais je n’ai été aux dîners mondains, ni même dans la loge maternelle. J’était un faire valoir oral pas visible. Et puis, s’il n’y avait eu que les dîners et le fait de me cacher aux yeux du monde comme une pestiférée, je pense que j’en aurais pris mon parti. Je pense que je l’ai fait d’une certaine manière. Mes parents appréciaient tout autant l’art et les fêtes que la drogue. Plus je grandissais, plus je remarquais les joins laissés dans le cendrier ou sur le plancher du salon. L’état léthargique de mes parents après une bonne soirée comme ils aimaient dire était plus que pitoyable. J’ai alors fui et la maison et les amitiés éventuelles que je pouvais créer au dehors. Il y avait une carapace à percer et cela n’avait rien de facile.

- Go to the university :

Parallèlement, l’université m’a fait beaucoup de bien. J’ai demandé à vivre en internat, mes parents ont voulu faire barrage mais mes arguments étaient bien trop puissants. Surtout, comment pourrais-je leur manquer alors qu’ils avaient passé mon enfance à ignorer mon existence ? Et c’est à l’université que j’ai commencé à vraiment vivre. Je me suis ouverte aux autres, avec toutefois une méfiance qui ne me quittait pas. Mais j’ai pu devenir moi-même. Et cette moi-même adorait et se passionnaient pour la peinture. Visite virtuelle du Louvre, passer ses journées dans le musée d’art contemporain, suivre avec assiduité les cours de peinture. Je me suis lancée à corps perdu dans cette passion à la fois libératrice et enfermante. Car oui, en laissant s’exprimer ma passion je me suis rendue compte de l’hérédité de la situation.

- Far away :

Je ne pouvais plus dès lors restée à New-York. Je ne voulais pas que l’hérédité s’étende à tous les points de vue. Mission : la Californie. Fuir vite, loin, de l’autre côté du pays. Mon diplôme en poche et mon bagage léger sous le bras, j’ai pris la poudre d’escampette mais je n’ai pas atterrie exactement à l’endroit convenu. Tombée par hasard sur le camp, je me suis dit, je reste une nuit pour reprendre des forces et me reposer car un road trip ça fatigue. Et puis finalement je ne suis pas repartie. J’avais ici la douceur qui m’avait manqué, un entourage charmant et des paysages qui permettaient à ma passion de s’exprimer librement. Qu’aurais-je pu demander de plus ?

Citation :

* Un tatouage représentant un papillon au poignet juste au dessus de la paume de main.
* Elle adore tirer les cartes pour s’amuser.
* Elle cuisine le soufflé au fromage comme une championne.
* Sa chanson préférée est « A horse with no name »
* Elle déteste le jambon et la sauce tomate.
* Elle craque littéralement devant un petit beurre.
* Son carburant essentiel pour vivre est le thé vert à la menthe.
* Elle se couche tard et se lève tard, très tard et parfois trop tard !
* Quand elle ne peint pas, elle fait de longue balade à travers la nature.
* Quand elle ne se balade pas à travers la nature, elle danse.
* Un bruit répétitif comme le tic-tac d’une horloge peut la déconcentrer ou la mettre hors d’elle.

Et toi derrière l'écran !
Pseudo/Âge :Vicky pour ici - entre 0 et 100 ans à une vache près.
Avatar : la très jolie Gemma Arterton
Où avez-vous connu le forum ? à cause d'une certaine NANA.
Avis ? Commentaire ? Dédicace ?Avis : j'adore l'impression de quiétude qui se dégage de ce forum ça fait un bien fou !
Commentaire : aucun pour le moment...
Dédicace : Big up à la VM qui m'a parlée de ce forum (elle se reconnaîtra)

Bienvenue en tout cas, j'espère que tu vas te plaire ici
Là je suis censée dire 'je te réserve l'avatar' mais, t'as déjà fini ta fiche en fait ?

Sinon il y a juste un petit problème avec les dimensions de l'avatar.

C'est horrible de faire une Gemma Arterton sur un forum où mon personnage est marié
Bienvenue quand même :)

Bienvenue :)

Merci beaucoup ^^ Oui j'étais lancée hier soir ! Il faut dire que l'on m'a bien motivée ^^

Quel soucis pour le format ? J'arrive pas à faire mieux

Bon ben alors t'es validée alors

Le format doit faire 200x320 (pixels) Quelle est la taille de ton image ?

Normalement c'est bon j'ai trouvé la faille et vaincu le monde cybernétique qui faisait barrage...

Whaou je parle bien ce soir

Génial

(oui, c'est moi la VM)

J'ai pas la force de lire ta fiche ce soir, je suis dead, je viens de rentrer (oui j'ai une vie sociale ) mais je suis sûre que c'est de la bombe.

C'est quoi le problème avec le vava Miko ?

Ah ben maintenant il n'y en a plus :D

J'avais pas le bon format mais comme je dis j'ai vaincu ! Tu as remarqué : chose promise chose due = fiche finie ^^

Rhaa j'attends ton avis sur mon niveau ! Bon la patience est une vertu alors on va l'entretenir !

Bienvenue Et bien je constate que tu es d'une efficacité sans limite ! J'aime beaucoup ce que tu as fait du personnage