| | Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] | |
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+3Joshua Pludy Joseph M. Blake Einion MacDónaill 7 participants | Auteur | Message |
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Einion MacDónaill
Messages : 28 Date d'inscription : 28/11/2010 Age : 34
| Sujet: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Dim 28 Nov - 22:12 | |
| Date et Lieu de naissance : 18 septembre 1968, à Londonderry. (Irlande du Nord, GB) Statut : veuf, père de deux enfants. Profession : ancien leader d'un groupe de musique, reconverti en pyrotechnicien. Caractère : Il est toujours très délicat de parler de soi, n'est-ce pas ? Difficile de ne pas être trop modeste sans pour autant tomber dans l'exagération et le narcissisme pur. Je vous demande donc un peu d'indulgence pour ce qui va suivre. Merci. On dit de moi que je suis associable mais je ne partage pas cette opinion. Le fait que je n'ai pas de véritables amis ne fait pas de moi un cas. Depuis tout petit, je suis perfectionniste. Il n'est pas rare qu'une de mes chansons passe à la poubelle sans le moindre regret. La volonté de caresser la perfection m'a toujours obsédé. Après tout, c'est un peu ce qui nous arrive à tous. Je tiens également à signaler que si je une personne posée, cela n'empêche que je peux, de temps à autre, réaliser un coup de sang. Assez lunatique, je suis toutefois toujours très lucide. J'ai un côté flemmard assez développé et c'est entre autres pour cela que je n'ai jamais cherché à parler une autre langue que l'anglais. Si l'on exclue les quelques mots de français que j'arrive à baragouiner quand j'ai bu, je ne suis pas capable de m'exprimer dans une langue autre que celle de Shakespeare. Ma flemmardise est parfois plus vicieuse : c'est à elle que je dois mon look négligé. La persévérance a toujours été ma grande amie. Tandis que nous étions comme cul et chemise, madame Patience jouait aux cartes. Autrement dit, je ne suis absolument pas patient. C'est un trait de caractère que l'on regrette de plus en plus quand on prend de l'âge. Paraît-il que je peux être drôle, quand je veux. Je n'ai jamais cherché à faire rire autrui. Disons que cette facilité à plaisanter de tout reflète à mon entourage une image plus "vivable". Si je ne suis pas généreux en sourires comme en compliments, je suis toujours d'une franchise à vous couper le souffle. De là à distinguer s'il s'agit d'une qualité ou d'un défaut, je n'ai jamais su. J'ai beau être victime de ma légendaire flemmardise, cela n'empêche que j'adore faire la fête, boire de l'alcool en écoutant de la musique pour X célébration. C'est aussi pour cette raison que pour ma reconversion, je ne voulais pas d'un job dans un bureau, par exemple. Non, je me serais pendu depuis longtemps si j'avais eu à subir cela. Et voilà, c'est tout ce que vous saurez : il faut bien préserver un peu de mystère. Si vous étiez un regard ? un clin d'œil. Si vous étiez une odeur ? celle de la mer. Si vous étiez un toucher ? une touche de piano. Si vous étiez un son ? celui de la guitare sèche. Si vous étiez un goût ? celui du citron. On a tous une histoire, racontez nous la vôtre... Tout d'abord, avant de débuter ce récit, je vous conseille de vous armer d'un stylo et d'un carnet de notes. En effet, je n'ai encore jamais parlé de moi de cette manière et les idées risquent d'être assez désordonnées. À vous ensuite de tout remettre dans l'ordre qui vous semblera judicieux. Si vous êtes prêts, j'y vais.
« Enclume McDonald » Je vous l'accorde, ce nom prête à sourire. Pourtant, tout à l'heure, quand je me suis présenté à vous, l'énonciation de Einion MacDónaill ne vous a pas étonné. Je suis né en Irlande du Nord, qui fait partie de l'empire Britannique. Mon prénom est gallois, mon patronyme est irlandais mais j'ai la nationalité anglaise. Depuis que j'ai rejoins le camp, j'ai eu besoin de demander une double nationalité : anglo-américaine. Avouez que vous ne regrettez pas de vous être munis de quoi prendre des notes. Aîné d'une famille finalement composée de deux parents -logique, me direz-vous- et de trois enfants, j'ai deux plus jeunes sœurs. Celles-ci n'ont jamais eu le goût de l'aventure. Peut-être même qu'elles croient que le Colorado est un nom de cocktail et qu'elles pensent que je vis encore en Angleterre. Pour tout vous dire, elles ne m'ont pas contacté depuis des années. Je les ai quitté en assurant le traditionnel "On se donnera des nouvelles ! Je vous appelle en arrivant." J'ai toujours pensé que j'avais oublié mon répertoire en Angleterre... Ma légende personnelle a débuté le 18 septembre 1968, à Londonderry. L'Irlande, c'est joli. D'ailleurs il n'est pas rare que le pays me manque. C'est très différent d'ici. Et même si je n'y ai passé que deux courtes années, cela m'a marqué. En effet, j'étais encore en soquettes et en grenouillère quand mes parents ont décidé de se rapprocher de la Reine d'Angleterre. (en pensant que leurs frais d'envoi de courrier seraient ainsi réduits : ils étaient de grands admirateurs de Sa Majesté) En vain, ce n'est pas pour parler d'eux que je m'adresse à vous. J'ai eu une enfance assez banale, bercée surtout par la musique. C'est ma passion de toujours. J'ai joué de la guitare dès l'âge de six ans. De là à vous affirmer que j'avais la pleine maîtrise de mon instrument, il y a de la marge. À l'école, j'étais un élève peu attentif, moyen, qui avait toujours la moyenne, juste ce qu'il fallait pour passer dans la classe supérieure. En fait, je passais le plus clair de mon temps à draguer et à jouer de la musique. À l'âge de seize ans, j'ai décidé de créer un groupe de musique. Rejoins par trois amis de l'époque, nous avons ainsi donné naissance à une formation qui reprenait essentiellement des grands classiques. Je composais beaucoup de chansons mais pour débuter, je préférais rendre hommage aux Beatles, aux Stones, aux Doors et à David Bowie. Ce dernier a d'ailleurs eu une influence assez incroyable sur mes chansons. Bref, mon adolescence n'a rien d'extraordinaire. En Angleterre, des loosers de mon espèce, il y en avait à la pelle. J'avais une gueule assez déglinguée mais cela ne m'empêchait pas de faire la cour aux filles, à l'école. Celle-ci ne me motivait guère à quoique ce soit. Les études n'étant pas ma priorité, j'ai cessé d'aller en cours quand j'eus l'âge nécessaire. Je pris mes cliques et mes claques et j'ai migré à Londres, avec mes amis, co-fondateurs du groupes.
« London Calling » Que l'auteur de la chanson du même nom me pardonne pour cet emprunt maladroit. Encore un brin innocent mais surtout très impertinent, je posai donc mes valises dans un appartement miteux de la banlieue nord de Londres. (à Enfield, pour les puristes) Toujours en compagnie de mes trois acolytes, nous avions tous économisé du mieux possible pour ne pas se retrouver à mendier sous les ponts. Nous ne nous en sommes pas trop mal sortis. Très vite, notre logement s'est transformé en studio d'enregistrement improvisé. Du matériel bon marché et/ou acheté d'occasion nous permettait de donner vie à des tas de chansons. La plupart d'entre elles ne franchissaient pas les murs de notre bunker. De temps à autres, des professionnelles du strip-tease nous rendaient visite. Il avait beau y avoir une fille dans le groupe, cela ne la gênait pas ; au contraire même, je pense que cela l'amusait plus qu'autre chose. Elle était très ouverte d'esprit. C'est entre autres pour cette raison que je l'ai attiré dans mes filets. Autant vous dire qu'avec le recul, j'ai fini par comprendre que je n'aurais jamais dû. Nous nous sommes mariés quand elle avait vingt-quatre ans. J'en avais vingt-cinq et je ne voyais pas le moindre symbolisme dans cette union : je pouvais simplement désormais me vanter d'avoir une femme. Vous connaissez ma femme ? Elle est belle hein ? Vous voyez le genre. La débauche, dans notre appartement, allait crescendo dans l'absurdité : alcool, drogues, descentes de police finissant en bagarres, trafics en tous genres etc. Allez savoir pourquoi c'est à cette époque, où, ne sachant même plus différencier une bouteille de whisky d'une brique de lait, camés H-24, 7j/7, un agent est venu s'intéresser à nous. David Elliott Tyler, qu'il s'appelait. Je m'en souviens comme si c'était hier. Il était londonien et nous avait entendu jouer lors d'un des rares concerts que nous avions donné dans la capitale. Sans véritable "justification", il a proposé de nous sponsoriser une tournée et c'est ainsi que tout a véritablement commencé. En échange d'une trêve totale dans la prise de drogues & co, il nous offrit d'abord une série de concerts dans des pubs londoniens très huppés, à l'époque. Évidemment nous ne faisions au début que des premières parties. Mais petit à petit, les gens venaient aux concerts aussi pour nous voir jouer. Un soir de 1994, nous prîmes notre envol. Les représentations sur scène à guichets fermés s'enchainaient. C'était un véritable plaisir puisque nous pouvions enfin jouer nos propres chansons, à des gens qui les aimaient. Symbole d'une concrétisation au plaisir sans nom, c'est la période que je regrette le plus. Nous avons sortis plusieurs albums, participé à des tas d'émissions de radio et de télévision, donné des centaines de concerts et aussi, amassé des milliers de livres. (la monnaie, pas la nourriture pour cerveau)
« The Gallifreys » Sur ces images, vous pouvez me voir à l'œuvre. Quel âge j'avais ? Hum, je dirais une bonne vingtaine d'années, la trentaine me guettait à travers la caméra. The Gallifreys était le nom de notre groupe. Oui, aussi étonnant que cela puisse paraître. Ce n'est pas forcément original mais cela nous plaisait. Peu de temps avant l'enregistrement de ce clip musical, de nouveaux membres avaient rejoins la formation. Nous étions des super stars à cette époque. Enfin, surtout moi. Car comme dans la plupart des cas, c'est toujours le frontman du groupe qui est le plus adulé. Les médias se déchainaient pour nous attirer d'une manière ou d'une autre dans leurs émissions respectives. Mais le rythme était devenu infernal. Le tourbillon du show business ne tarderait pas à avoir raison de nous. Pourtant, nous réussissions tant bien que mal à maintenir le cap. Qu'importe le prix à payer, l'appel de la scène et du public était toujours plus fort que tout. Jusqu'au jour où Saskia, ma femme, mourut subitement. Overdose de somnifères, elle ne s'est jamais réveillée. Indirectement, cela a sonné la fin définitive du groupe. Saskia avait toujours été présente, des débuts jusqu'aux instants de gloire suprême. Sans elle au clavier, plus rien ne serait comme avant. On le savait. Sa présence et son talent de musicienne manquaient déjà cruellement au groupe quand elle fut enterrée, quelques jours plus tard. Son autopsie fit la Une des tabloïds. Le cœur déchiré, j'ai décidé de tout laisser tomber. Malheureusement, cela ne s'est pas passé exactement comme je le pensais. Dans l'idéal, j'aurais aimé pouvoir terminer la série de concerts programmés et ensuite, faire une annonce publique pour mon retrait du groupe ; tout ceci en justifiant bien sûr ma décision en mentionnant la mort de Saskia. Toutefois, les autres membres des Gallifreys se sont rebellés, m'ont craché à la gueule en me faisant remarquer que je n'avais pas le droit de les abandonner alors que des dizaines d'autres contrats juteux nous attendaient sagement. Je n'avais jamais été intéressé par l'argent. Tout ce que je voulais, c'était faire connaître ma musique à un nombre de personnes incalculable. La volonté de partage était plus forte que tout. Nous nous sommes brouillés et chacun a décidé de poursuivre sa carrière en solo. Aujourd'hui encore je ris en pensant aux bides qu'ils ont connu.
« The Prodigal Sun » Ai-je besoin de vous préciser les détails qui font que la vie en Angleterre et dans le désert, ça n'a rien à voir ? Lorsque je suis arrivé ici, j'ai tout de suite voulu repartir d'où je venais. Sérieusement, il fallait être un peu barge pour souhaiter vivre sous cette chaleur écrasante, avec pour seuls voisins des scorpions et des serpents à sonnette. Et pourtant, je ne savais pas encore que je resterais tant d'années ici. Comment ai-je atterri dans le camp ? Hum, laissez-moi réfléchir... Oui, ça me revient. En fait, je venais tout juste de finir ma formation de pyrotechnicien. Comme je l'ai décrit précédemment, j'ai toujours eu un esprit un peu foufou. Dans le métier que j'ai exercé durant de nombreuses années, je me suis lié d'amitié avec de nombreuses personnes. Faire jouer ses relations n'a jamais eu autant de sens que ce jour-là, quand j'ai rencontré un mec qui bossait dans l'événementiel. Je vous l'accorde, à priori cela n'avait rien de bandant : attendez de savoir la suite. Quand tous les fans (ou presque) se sont mis à me détester et que j'ai songé à faire autre chose de ma vie que le zouave sur une scène, pour amuser la galerie, j'ai repris contact avec ce mec qui m'a proposé de suivre une formation pour devenir pyrotechnicien. Je dois vous avouer que j'ai d'abord cru à une blague. Est-ce que j'ai une tête à enflammer des pétards pour gagner ma vie ? Il a dû penser que oui puisqu'il a insisté. L'apprentissage du job m'a pris deux longues et intenses années de ma vie. C'est vraiment à cette époque que j'ai le plus regretté d'avoir autant fumé. Et lorsque je ne fus même plus capable de distinguer une cigarette d'une fusée d'artifice, il m'a envoyé aux USA pour que je puisse m'entraîner. Comprenez ici qu'il m'a choisi cette nouvelle terre d'accueil, offrant de nombreux déserts dans lesquels j'aurais peu de chances de tuer quelqu'un en faisant des essais. Il n'eut pas tort car l'équation est simple : Einion + allumettes + artifices = catastrophe naturelle. On est jamais trop prudent. Un jour que je roulais ma bosse dans une petite ville du Colorado, j'entendis parler de ce camp original qui attisait la curiosité de tous. Vous vous imaginez bien qu'en entendant parler de camp rassemblant des fêlés férus de nature vivant avec le strict minimum, je n'ai pu faire autrement que de ramener ma fraise ici. La suite est simple : je n'ai plus jamais quitté cet endroit. Comme domicile, devrais-je dire, puisqu'il n'est pas rare que je voyage aux quatre coins du pays, pour mon travail. Les pyrotechniciens ne courent pas les rues, voyez-vous. Comme brièvement évoqué plus tôt, l'adaptation n'a pas été simple. Toutefois, je suis aujourd'hui encore surpris de la facilité avec laquelle j'ai été accueilli. Ce qui était d'autant plus agréable, c'est que personne ne connaissait ma carrière de chanteur et n'avait donc aucun jugement là-dessus. Même si je dois vous avouer que durant les premières semaines, j'ai trouvé cela très vexant.
« No Control » J'allais oublier de vous raconter comment je suis devenu père à deux reprises. Pour ne rien vous cacher, ce sont des faits que j'ai souvent tendance à oublier. En fait, c'est assez simple : je n'ai jamais connu mes enfants. Ils sont tous deux nés de mères différentes, qui ne se connaissent pas. Disons que certains coups d'un soir laissent des souvenirs plus "coriaces" que d'autres. Ces deux bambins en sont la preuve vivante. Enfin, leurs mères prétendent que leurs enfants sont de moi mais j'ai quelques doutes à ce sujet. C'est d'ailleurs assez vague et c'est quelque chose que j'évoque toujours en étant mal à l'aise. Voilà pourquoi ce détail ne mérite qu'un "pauvre" paragraphe mal construit en fin de récit. En vain, c'est un détail qui a quand même le mérite de se voir attribuer le même titre qu'une excellente chanson de David Bowie : tout n'est pas perdu.
Ces petits choses qui font que l'on est tous uniques... ॐ Je fume beaucoup. ॐ Je me suis cassé le bras droit trois fois. ॐ Après mon échec dans le monde du show business, des fans n'ont rien trouvé de mieux à faire que de me surnommer Onion. ॐ Sans mes lunettes, je ne vis plus. ॐ Je suis capable de jouer de plus de six instruments de musique. (guitare, piano, batterie, flûte, harmonica et thérémine. ॐ Contrairement à beaucoup de chanteurs, je n'ai jamais pris le moindre cours de chant. ॐ J'ai toujours adoré me déguiser. ॐ La pastèque, le lait, le poisson et le chou-fleur me font vomir. ॐ J'ai toujours besoin de peu de sommeil. ॐ Quand je chantais encore, j'adorais voir la foule reprendre en chœur mes compositions. Rien que pour ça mon ancienne profession me manque. ॐ J'ai renversé mon patron actuel par accident le lendemain de mon entretien avec lui. ॐ Je coupe rarement mes ongles, ils finissent toujours par se casser. ॐ La musique occupe une grande partie de mes journées, surtout quand je ne travaille pas. ॐ J'ai la phobie des papillons de nuit.
Et toi derrière l'écran ! Pseudo/Âge : White Rabbit , 21 ans. Avatar : Mon idole, le vénéré et vénérable Jarvis Cocker Où avez-vous connu le forum ? Sur Bazzart ! Avis ? Commentaire ? Dédicace ? Le contexte du forum me plait vraiment ! J'espère pouvoir me faire une petite place parmi vous. J'ai une passion pour les David (Bowie, Tennant), j'aime les moutons et la bière.
PS : le RP a la première personne du singulier est-il autorisé ?
Dernière édition par Einion MacDónaill le Mar 30 Nov - 1:20, édité 10 fois | |
| | | Joseph M. Blake MILES [*] Images of broken light which dance before me like a million eyes
Messages : 224 Date d'inscription : 17/09/2010 Age : 33
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| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Dim 28 Nov - 22:15 | |
| White Rabbit, la créatrice? Gah, je suis un méga fan, tu as des supers goûts! Et ton personnage prometteur le souligne :) Oui, le rp à la première personne est autorisé à ce qu'il me semble. Quoiqu'il en soit, un MEGA bienvenue | |
| | | Joshua Pludy ADMIKO ♣ «Ce qui embellit le désert c’est qu’il cache un puits quelque part…»
Messages : 751 Date d'inscription : 23/08/2010 Age : 33
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| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Dim 28 Nov - 22:19 | |
| BIENVENUE Evidemment que tu vas te faire une place sur notre petit forum, on accueille avec les bras ouverts ici =) Choix d'avatar super intéressant, je cours te le réserver de suite! Jene vois pas pourquoi le RP à la première personne ne serait pas autorisé, moi ça ne me dérange pas en tout cas, je ne sais pas ce qu'il en est des deux autres admins. On va avoir des feux d'artifice alors ? | |
| | | Einion MacDónaill
Messages : 28 Date d'inscription : 28/11/2010 Age : 34
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Dim 28 Nov - 22:22 | |
| Pff, je suis déjà démasqué. Euh le créat eur, je déborde de testostérones =D (à moins qu'il n'y ait plusieurs white rabbit... à vérifier!) Dans tous les cas, je te remercie pour ton accueil :) et je te félicite pour ton choix d'avatar : Emile est un de mes acteurs préférés. Zoup, j'édite mon message : merci beaucoup Joshua :) Décidément, il n'y a que des bons avatars sur ce forum ! Je préfère demander si les écrits à la 1ère personne sont tolérés puisque je sais que ce n'est pas apprécié sur tous les forums. Et oui, je compte bien faire briller encore un peu plus le beau ciel du Colorado ! Et merci pour la réservation de l'avatar =) *content* | |
| | | Joseph M. Blake MILES [*] Images of broken light which dance before me like a million eyes
Messages : 224 Date d'inscription : 17/09/2010 Age : 33
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| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Dim 28 Nov - 22:29 | |
| Créateur, autant pour moi, je ne savais pas. Bref, je suis un ultra méga fan. Merci pour Emile :) Roh, ça va être gigantesque. En plus, j'aime Jarvis Cocker. Bon je m'en vais sinon ça va être moi, le feu d'artifice | |
| | | Einion MacDónaill
Messages : 28 Date d'inscription : 28/11/2010 Age : 34
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Dim 28 Nov - 23:09 | |
| Ce n'est pas grave, j'ai l'habitude. Oh tu aimes Jarvis ?! Dans mes bras Bref, je finis cette présentation au plus vite =) | |
| | | Charlotte R. Price
Messages : 36 Date d'inscription : 17/11/2010
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Dim 28 Nov - 23:30 | |
| Bienvenue sur le forum :) | |
| | | Billie Verovski ADNANOUSH • She paints your sky with stars
Messages : 503 Date d'inscription : 24/08/2010 Age : 35
IT'S A WILD WORLD Dans la communauté depuis: 2 ans. Ils sont ma nouvelle famille: Rêves et regrets :
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Lun 29 Nov - 0:20 | |
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| | | Einion MacDónaill
Messages : 28 Date d'inscription : 28/11/2010 Age : 34
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Lun 29 Nov - 1:11 | |
| Merci Charlotte :) Oh merci pour ton accueil chaleureux. C'est la première fois que j'ai la chance de pouvoir incarner Jarvis... J'espère qu'il ne repoussera pas les éventuels intéressés pour RP. Bref, mille mercis ! | |
| | | Billie Verovski ADNANOUSH • She paints your sky with stars
Messages : 503 Date d'inscription : 24/08/2010 Age : 35
IT'S A WILD WORLD Dans la communauté depuis: 2 ans. Ils sont ma nouvelle famille: Rêves et regrets :
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Lun 29 Nov - 1:20 | |
| Ça ne me repoussera pas, moi, en tout cas. Sois rassuré. | |
| | | Einion MacDónaill
Messages : 28 Date d'inscription : 28/11/2010 Age : 34
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Mar 30 Nov - 0:50 | |
| Voilà voilà, mon écrit est achevé... Pas terrible, j'ai eu une longue journée de travail, je déteste rédiger des présentations et j'ai l'esprit ailleurs, déconcentré par l'orage. (j'adore cette région, il y a du tonnerre quand il neige ) Donc je vous laisse faire la lecture de ce pauvre écrit même pas drôle ni original. (je régresse) Si besoin est, j'apporterai des modifications/compléments d'informations etc. :) | |
| | | Joshua Pludy ADMIKO ♣ «Ce qui embellit le désert c’est qu’il cache un puits quelque part…»
Messages : 751 Date d'inscription : 23/08/2010 Age : 33
IT'S A WILD WORLD Dans la communauté depuis: Toujours Ils sont ma nouvelle famille: Rêves et regrets :
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Mar 30 Nov - 1:02 | |
| Mais je l'adoooore moi cette fiche, si seulement je pouvais valider deux fois Tu l'auras compris, tu es validé avec grand plaisir! | |
| | | Einion MacDónaill
Messages : 28 Date d'inscription : 28/11/2010 Age : 34
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Mar 30 Nov - 1:03 | |
| Oh merci, ça fait très plaisir. :D ('sont cool vos smileys !) | |
| | | Billie Verovski ADNANOUSH • She paints your sky with stars
Messages : 503 Date d'inscription : 24/08/2010 Age : 35
IT'S A WILD WORLD Dans la communauté depuis: 2 ans. Ils sont ma nouvelle famille: Rêves et regrets :
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Mar 30 Nov - 23:32 | |
| J'ai enfin pu lire ta fiche. Je tenais juste à dire que j'ai adoré ta manière de décrypter la bio de ton personnage. C'est hyper clair. Et puis la vidéo à l'intérieur. Perfecto. | |
| | | Mikaela Calleigh ADGLOOGLOO ♪ Et par le pouvoir d'un mot je recommence ma vie.
Messages : 241 Date d'inscription : 29/05/2010
IT'S A WILD WORLD Dans la communauté depuis: cinq merveilleuses années. Ils sont ma nouvelle famille: Rêves et regrets :
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Mer 1 Déc - 3:27 | |
| Bienvenue Excellent choix d'avatar, et de prénom, et superbe fiche | |
| | | Maxine O'Brien
Messages : 95 Date d'inscription : 19/09/2010
IT'S A WILD WORLD Dans la communauté depuis: Ils sont ma nouvelle famille: Rêves et regrets :
| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] Mer 1 Déc - 22:18 | |
| J'avais pas vu Bienvenue | |
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| Sujet: Re: Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] | |
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| | | | Einion MacDónaill : un British dans le désert [the end] | |
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