Dan OLSON | It's not my time, I'm not going

Date et Lieu de naissance : Le 13 février 1984 à Leadville, Colorado ; USA.
Statut : Célibataire.
Profession : Sans emploi.
Caractère : Danny est dans l’ensemble un homme difficile à cerner. Outre ses problèmes de dépendance évidents, il n’est pas vraiment facile de lire en lui. Mystérieux et secret, il préfère tout contenir et conserver en lui et ne jamais révéler ses faiblesses. Il ne s’agit pas du tout d’une quelconque forme de fierté, la sienne a d’ailleurs finie aux oubliettes depuis bien longtemps dès l’instant où il a commencé à toucher à des choses interdites, il ne supporte seulement pas cette image de raté qu’il reflète pourtant chaque jour que Dieu fait. Son manque de tact, ses réactions étranges et ses comportements disproportionnés résultent simplement d’un manque certain et visible de confiance en soi. Alors que la vie lui avait gentiment souri dès sa venue au monde, Danny n’a rien trouvé de mieux à faire que d’aller dans le sens opposé de l’endroit où on l’attendait pourtant. Il cultive depuis toujours une personnalité ambiguë et parfois même contradictoire. Malgré son âge, il donne encore l’impression d’être un adolescent perdu qui ne sait hélas pas où il va. Très rapidement toutes sortes d’excès sont entrées dans sa vie. Les sorties, les femmes, l’alcool et les drogues – dures et douces. Certains, pour ne pas dire tout le monde, pensent que c’est un raté fini. Ce qu’il est en partie. Mais quand on va au-delà des apparences, il n’est pas plus con qu’un autre individu. Ce qui fait très certainement tout son charme, c’est avant tout son grand cœur. Car même si monsieur fait passer ses besoins excessifs avant tout le reste, il regorge d’amour et aime ses proches de manière conséquente. Etre un junkie ne l’empêche pas d’éprouver des sentiments amoureux, ce n’est pas le genre d’homme à rester indifférent aux femmes.

Si vous étiez un regard ? Celui d’un aigle en plein vol. Dès lors intouchable et totalement libre.
Si vous étiez une odeur ? Celle d’une peau de bébé fraîchement nettoyée et talquée.
Si vous étiez un toucher ? Celui de l’union de deux mains qui s’entrelacent.
Si vous étiez un son ? Celui du rire cristallin d’un jeune enfant.
Si vous étiez un goût ? Celui d’un carré de chocolat au lait qui fond lentement sur la langue.

» Il n’a absolument pas confiance en lui. A dire vrai tout chez lui, lui déplaît horriblement. La couleur de ses yeux, la texture de ses cheveux, son corps en passant par le côté larmoyant de chien abandonné que ses yeux brandissent la plupart du temps.
» En somme, il se trouve laid. Mais c’est un secret.
» Il a aussi un cœur d’artichaut derrière ces airs qui se veulent froids et distants.
» Son rêve le plus fou était de devenir un grand pianiste de haute renommée.
» Comme tout le monde le sait, Danny possède quelques problèmes de drogue. Cependant ce n’est pas là la seule addiction qui régente sa vie. En effet, le jeune homme tombe très rapidement amoureux. Il supporte très mal le fait d’être seul et ressent constamment le besoin d’être secondé par une épaule féminine.
» Fait plutôt étrange, alors que sa santé ne semble pas être sa priorité dans la vie… curieusement, il mange parfaitement sainement.

Et toi derrière l'écran !



(c) Corpse Heart

Pseudo/Âge : Je m'intitule Sissi, je suis 22 ans
Avatar : James Franco
Où avez-vous connu le forum ? Par un partenariat suprise
Avis ? Commentaire ? Dédicace ? Je suis trop contente d'être là
Etant donné que Lo a pris Ryan comme avatar, est-il possible de me réserver James même si vous l'avez mis en suggestion d'avatar ailleurs ? C'est le boxon dans les prédéfinis, je le conçois, mais on le vaut bien
A part ça, que dire ? JE VOUS NEM Live long and prosper

On a tous une histoire, racontez nous la vôtre...



Then I'll see your face
I know I'm finally yours
I find everything I thought I lost before
You call my name
I come to you in pieces
So you can make me whole.

Immobile, cela faisait de nombreuses secondes que Danny observait avec insistance son reflet dans un miroir solidement accroché à un mur situé entre l’entrée et la cuisine. Son regard de toute évidence vide et perdu dans le vague semblait pourtant fixer son double d’une manière peu commune. Les bras étendus le long du corps, il ne cillait pas. Seuls les mouvements lents et répétés qu’effectuait son ventre prouvaient que cette masse de chair vivait encore. Les traits de son visage étaient tirés à l’extrême, comme s’il avait été victime d’une chirurgie esthétique ratée. Au lieu d’arborer un lifting réparateur qui en ferait pâlir le plus fripé de tous les Shar-Peï, le jeune homme affichait tristement des cernes de plusieurs kilomètres de long. Il donnait curieusement l’impression de ne pas avoir dormi depuis une éternité, ce qui était en partie vraie. Alors que ses sourcils se fronçaient progressivement tant la vue de son propre visage le rebutait, quelqu’un se faufila silencieusement derrière lui et plaça ses mains sur ses épaules ; ce qui lui valut un léger sursaut qui aurait très bien pu se transformer en geste beaucoup plus agressif s’il n’avait pas été maître de ses mouvements à cet instant précis.

« Qu’est-ce que tu fais ? » Lança de vive voix Maxine, dont l’implacable sourire édenté illuminait encore et toujours le visage.
« Rien rien… » Répondit-il presqu’aussitôt tout en se retournant vers elle.
« Tu avais l’air songeur. » Poursuivit la jeune femme d’un ton moins enjoué. « Quelque chose ne va pas ? »
« Tout va très bien. » Il sourit sincèrement pour se rassurer lui-même avant tout. Tout n’allait pas exactement bien mais il devait faire comme si. « Je regrette seulement de ne pas avoir été averti plus tôt de ta visite. » Il baissa les yeux vers le sweat qu’il portait. « J’aurais fait un effort vestimentaire, vois-tu. » Un soupire vint accompagner ses paroles dans lesquelles résonnait une certaine forme de tristesse. Comme à son habitude, Maxine était sublime. Très apprêtée, divinement parfumée et maquillée, les cheveux domptés ; elle ne laissait rien au hasard. Par ailleurs, la courte robe noire – de toute beauté – sur laquelle son choix s’était arrêté la mettait incroyablement en valeur, et laissait découvrir ses longues jambes qu’autrefois il adorait recouvrir de baisers. Il n’était pas très à l’aise avec l’idée qu’elle puisse aller et venir chez lui comme bon lui semblait mais il ne pouvait se permettre de le lui faire remarquer. Autrement, que penserait-elle ? Qu’il avait indéniablement quelque chose à se reprocher ou qu’il cherchait à dissimuler un détail qu’il voulait garder secret. Toute vérité n’était pas bonne à entendre et la sienne n’échappait nullement à la règle. Ce n’était qu’une question de temps. Elle lui avait affirmé n’être de passage en ville que pour quelques jours. Une affaire d’une semaine, voire deux dans le pire des cas. Il s’en voulait cruellement d’avoir de telles pensées la concernant car une grande partie de son être réclamait sa présence auprès de lui, seulement cela impliquait des sacrifices et des souffrances bien trop immenses. Ces trois dernières années il n’avait su chasser ces démons maléfiques qui le hantaient chaque jour, malgré une volonté – certes faible – de s’en sortir. Par conséquent, comment pourrait-il le faire en l’espace de si peu de temps ? C’était pratiquement impossible.

« Retournons au salon. » Conclut-il enfin après être parvenu à libérer son esprit de toutes ces pensées néfastes.
« Bonne idée. » Ils prirent de nouveau place dans le canapé, laissant un petit espace entre eux. « Alors… » Commença la brunette avant de se racler la gorge. « Tu as arrêté de m’écrire ? » Son ton n’avait rien d’accusateur, on voyait clairement qu’elle cherchait simplement à instaurer un climat agréable entre eux même si évoquer le passé n’était pas la manière la plus intelligente de le faire. Toutefois l’intention y était.
« Comme tu le sais, les mots n’ont jamais été mon point fort. » Se défendit-il comme il put. D’une certaine manière il ne mentait pas, car retranscrire par écrit ce qu’il avait pu ressentir auparavant avait parfois pris plusieurs jours. Trouver les termes justes pour décrire la vérité n’était pas une mince affaire, surtout quand il s’agissait de faire comprendre à quel point la distance nous faisait souffrir. « Rompre tout contact avec toi n’a pas été facile. » Expliqua-t-il timidement, la tête baissée vers ses mains jointes. « Tu avais ta vie là-bas… » ‘Et moi la mienne ici’ aurait-il pu ajouter si seulement cela était vrai. « de nouveaux amis. » Renchérit-il. « Je ne voulais pas troubler ton nouvel équilibre, tu comprends ? » Ses doigts se crispèrent de nervosité les uns sur les autres. « Tu méritais mieux que ce patelin perdu… » Leadville n’était franchement pas l’endroit idéal pour percer dans une carrière prometteuse. Il ne pouvait décemment pas lui en vouloir d’avoir souhaité couper les ponts avec une partie d’elle-même qui l’empêchait d’avancer. Danny faisait d’ailleurs partie de ce côté-là de son passé qu’elle avait dû péniblement éradiquer de sa vie pour mieux aller de l’avant. Après tout, le jeune homme était à l’image de sa ville. Petit, réconfortant, familial et aimant mais on ne pouvait vraisemblablement pas s’en contenter lorsque l’on aspirait à une existence meilleure.

« Je ne voulais pas t’empêcher d’avancer. » Presqu’automatiquement, ses lèvres formèrent un sourire qui se voulait sincère. La retenir prisonnière, alors qu’il connaissait son potentiel, aurait été un geste purement égoïste. Il s’était très rapidement rendu à l’évidence qu’il n’avait tout bonnement rien – ni de bon ni de mauvais d’ailleurs – à lui offrir. Alors que Maxine avait d’elle-même pris son envol vers de plus belles contrées qui lui avaient indéniablement ouvert plus d’une porte, Danny, lui, s’était contenté de poursuivre son minable quotidien de petit bipède mortel sans réel avenir. « Hey… » Murmura-t-elle tandis que, du revers de la main, elle lui caressait doucement la joue. « Je refuse d’entendre de pareilles bêtises. » Elle se déplaça dans sa direction de façon à n’être plus qu’à quelques centimètres de lui. « Compris ? » Tel un enfant en quête de réconfort Danny vint se lover contre elle, engouffrant son visage dans sa nuque puis à la naissance de sa chevelure chatoyante. Ses mains s’agrippèrent fermement à sa taille, parcoururent le reste de son corps puis remontèrent le long de ses bras dénudés jusqu’à finalement venir englober ses joues rosies. Il posa son front contre le sien et laissa de nombreuses secondes s’écouler sans ressentir le besoin d’effectuer le moindre mouvement. Il éprouva l’envie folle et le désir irrépressible de lui avouer que la partie intérieure de son être l’aimait encore tendrement – même après autant de temps passé loin l’un de l’autre – tandis que celle extérieure la désirait plus que de raison. Mais il n’en fit rien. Du moins, il n’en eut pas l’occasion. Maxine fut la première à saisir l’occasion qu’une telle promiscuité offrait, elle ferma les yeux et scella ses lèvres aux siennes dans un baiser en apparence timide et réservé. Ce dernier passa rapidement du stade de mesuré à lascif. Deux soirées suffirent à les réunir de nouveau. Deux rendez-vous, supposés amicaux et désintéressés, suffirent à les faire récupérer leur complicité d’antan. Connivence qui se consomma et s’acheva par une redécouverte totale et mutuelle de l’autre ; aussi bien par l’aspect psychique dans un premier temps que par l’aspect physique de la chose.

Help, I have done it again
Hurt myself again today
And the worst part is there's no one else to blame .

Du haut de ses vingt-six petites années, Danny n’avait pour ainsi dire rien accompli de particulier dans sa misérable existence. Bien entendu ces belles années passées au sein d’un foyer aimant – et riche de surcroît – ne pouvaient lui être retirées, seulement aujourd’hui elles semblaient remonter à tellement loin que le temps se chargeait lui-même de les effacer progressivement de son esprit ; même si les substances illicites qu’il avait consommées pendant bien longtemps se trouvaient être les premières responsables de ces trous de mémoire pour la plupart permanents. Lentement tous les bons souvenirs que son cerveau pouvait contenir lui étaient dérobés, seuls les moments difficiles restaient solidement imprégnés à sa carcasse fortement abîmée. Plus il répondait par l’affirmative à tous ces démons qui le contraignaient à se faire toujours plus de mal que la veille, plus sa dépendance devenait grande. Et fatalement, plus il se détruisait aussi bien de l’intérieur que de l’extérieur. Depuis son premier séjour – et il en connut d’autres, deux pour être exact – dans un centre de désintoxication, sa situation n’avait pas le moins du monde évoluée, elle s’était même dans l’ensemble aggravée au fil du temps. Plus de famille, plus de travail, plus d’amis – exceptés les nombreux déchets que la société actuelle dénombrait –, plus d’argent. Tout lui échappait à la vitesse grand V. Il n’avait plus rien. Il n’avait plus personne. Il était seul. Son corps usé et fatigué était à ce jour le seul bien qu’il possédait et qui ne pouvait lui être subtilisé. Du moins, partiellement. Car son âme, égarée en chemin, ne semblait hélas plus lui appartenir.

Son arrivée sur le camp était encore toute fraîche, toute récente – quelques jours tout au plus –, de ce fait Danny se faisait encore plus ou moins discret. Personne ne l’avait obligé à venir ici, il s’agissait d’une décision personnelle – et puis qui pouvait bien se soucier de son bien être à présent ? – mûrement réfléchie. Peu s’en doutait mais cette simple démarche représentait un énorme effort de la part du jeune homme qui décidait enfin de s’en sortir. Ou d’essayer. Pour le moment il tenait bon. En pleine tentative de sevrage, cela faisait maintenant deux semaines qu’il était parfaitement clean. Ni alcool, ni cachets, ni poudre, ni seringue. Rien du tout. Si la seule vue de ses parents ne le ramenait pas indirectement à ses nombreux échecs et à la destruction de sa famille, nul doute qu’il aurait été fier de leur en parler. Néanmoins, il était triste de constater que ce ne fut qu’après avoir tout perdu que la volonté d’Olson porta finalement ses fruits. Comme si la victoire n’en était pas vraiment une. Il avait beau avoir remporté cette première étape, au final aucune coupe ou autre trophée ne lui était remis.

Le manque d’activités et la solitude le rongeaient de l’intérieur. En plus de tourner en rond toute la journée, il commençait légèrement à devenir fou. Les tentatives de Deborah – qui avait gentiment proposé de lui offrir un toit dès son arrivée – destinées à le faire sortir un peu avaient toutes lamentablement échouées. Disons simplement qu’il ne se sentait pas encore prêt à affronter le regard curieux et peut-être désapprobateur de tous ces inconnus. Assis à même le sol, son regard ne cessait de fixer depuis une bonne heure maintenant la veste de sa ‘colocataire’ déposée sur une chaise. Il avait retourné le problème une bonne centaine de fois dans sa tête mais il revenait toujours à la même conclusion déplaisante. La sueur qui semblait désormais perler à son front eut raison de sa détermination qui bientôt passerait à la trappe. Il se remit maladroitement debout, frotta fermement sur son jean ses mains moites et torturées par la nervosité, puis engouffra quelques doigts dans une poche dont il n’était pas le propriétaire avant d’en extirper un trousseau de clefs. Quelques secondes plus tard il prenait possession de la voiture de Deborah et roulait en direction de la première ville susceptible de lui apporter le réconfort nécessaire qui pourrait assouvir son addiction.

S’enfuir comme un lâche ne demanda pas trop d’efforts, surtout avec une telle avidité lui parcourant les veines. La difficulté se situa davantage sur le chemin du retour, il mit au moins trois heures pour revenir après avoir emprunté des routes et sentiers qui malheureusement n’étaient pas les bons. Ce fut seulement sur les coups d’une heure passée du matin que la voiture regagna silencieusement le camp. Mais dans pareille nature, le moindre bruit – en pleine nuit qui plus est – était perceptible à des kilomètres. Par conséquent il ne fut guère étonné de trouver Deborah, debout et les bras croisés contre sa poitrine, faisant le piquet devant sa caravane avant même qu’il ne soit arrivé à sa hauteur. Il coupa le moteur, sortit de la voiture et referma silencieusement la porte derrière lui. Tel un enfant puni ou pris sur le fait, Danny s’approcha doucement de la jeune femme et lui remit aussitôt les clefs. « Je suis désolé… » Murmura-t-il, la tête baissée. Il n’eut pas immédiatement de réponse, la demoiselle se retourna simplement et retourna dans son petit home sweet home qu’elle avait elle-même aménagé à sa manière. Il la rejoignit bêtement à l’intérieur sans trouver quoi dire. Même si l’état de transe qu’il avait arboré ces derniers jours s’était volatilisé, la nouvelle vue qu’il offrait n’était pas vraiment mieux que la précédente. « Tu sais… » Commença-t-elle tout en se plaçant devant lui. « Si tu veux que cette colocation se passe bien, tu vas devoir adopter un comportement différent. » Sa voix n’était pas agressive, elle ne donnait nullement l’impression d’avoir peur de lui – et ce point le rassura réellement – toutefois, l’on pouvait percevoir une touche de déception dans le ton employé. Ils se connaissaient à peine et pourtant quelque chose de particulier et d’unique semblait déjà les lier. Deborah s’était tout de suite montrée adorable et compréhensive avec lui, ce qui l’avait poussé à partiellement se confier à elle et lui raconter les grandes lignes de sa vie. Il n’était pas un brigand, ni un voleur et encore moins un violeur. Elle pouvait se rassurer. Refléter cette image de délinquant était difficile à accepter. « Tu m’aurais simplement demandé les clefs, je te les aurais données. »
« J’ai agi sans réfléchir. » Dit-il avant de la regarder dans les yeux. « Je sais pas ce qui m’a pris, ça ne me ressemble pas, crois-moi. » Alors qu’il soufflait de lassitude, elle lui prit les mains comme dans le but de le rassurer. « C’est comme si j’avais répondu à un appel plus fort encore que l’emprise que j’ai sur mon propre corps. » Il n’avait pas l’habitude d’exprimer à autrui les sensations qui le parcouraient lorsqu’il perdait le contrôle. Avec elle, il se sentait en sécurité. Alors qu’elle était la première à devoir être protégée d’un éventuel danger, Danny réclamait davantage cette même protection. « C’est déjà oublié… » Chuchota-t-elle tandis qu’elle l’encerclait de ses deux petits bras. Instinctivement sa main vint se glisser dans la poche arrière du jean de son ami – comme si elle savait exactement où et quoi chercher – et en ressortit un petit sachet transparent qui laissait apparaître la poudre blanche responsable de tous les incidents de la soirée. Après lui avoir déposé un baiser sur la joue, Lymonn se débarrassa de la ‘besace magique’ et leur prépara à tous les deux un bon thé à la menthe. « Merci. » Lança-t-il, sincèrement, avant de prendre place dans un petit fauteuil et de couvrir son visage de ses mains.

OOOH BIENVENUE ICI SISSI
Et pas de soucis pour James

Gloomy ~ OOOOH MERCI

Inutile de préciser que j'exigerai un lien

Tout ce que tu veux ma Gloogloo en sucre
Puis j'adore Elizabeth

Oh, bienvenue

(bis)
Vous avez géré avec vos choix d'avatar toutes les deux

Gipsy ~ Merkiiii

Butter ~ Toi aussi t'as géré Drew te va très bien un jour, je jouerai ton Justin Long
Nous faudra aussi un lien, cocotte

Danny L. Olson a écrit:

Butter ~ Toi aussi t'as géré Drew te va très bien un jour, je jouerai ton Justin Long
Nous faudra aussi un lien, cocotte

ah Justin
C'était inévitable voyons

Oups désolée Pour Ryan
Bienvenue

Bienvenue Princesse

Lo > PUREE DE CAROTTES TU AS RUINE MON SCENARIO ET MA VIE !!
Je plaisante hein, en passant

Nana >

Y'a eu une rupture de communication là, j'ai pas compris ton enchainement smileyique.

Y a pas vraiment de logique en fait
Te revoir me donne des idées mais comme je suis intimidée j'hésite un peu à me lancer... Finalement je parviens à te jouer ma sérénade

Danny L. Olson a écrit:

Y a pas vraiment de logique en fait
Te revoir me donne des idées mais comme je suis intimidée j'hésite un peu à me lancer... Finalement je parviens à te jouer ma sérénade

'Tention

Joshua Pludy a écrit:

Danny L. Olson a écrit:

Y a pas vraiment de logique en fait
Te revoir me donne des idées mais comme je suis intimidée j'hésite un peu à me lancer... Finalement je parviens à te jouer ma sérénade

'Tention

Il a son amour d'enfance sur le forum, je te rappelle, au cas où.

Sissi ~ Me disait bien. C'est comme le loto, tu les choisis au pif ? Mais balance tes idées surtout, je suis open pour tout, tu le sais bien. En plus nos deux personnalités ont un passé cinématographique commun.

Ça veut rien dire
Comment ça tout le monde n'est pas comme Joshua ?

Je crois qu'il y a une incompréhension générale là
Mon message était surtout destiné à la petite Nana derrière son PC Mais ça peut s'adapter sur nos personnages, y a pas de problème

Regardes-la la petite Mikette sauvage là

Joshua Pludy a écrit:

Ça veut rien dire
Comment ça tout le monde n'est pas comme Joshua ?

Ne me rappelle pas sa nature libertine. Ne me le rappelle pas.

Sissi ~ Mais c'est encore plus mieux. Et la petite Nana espère que dès qu'elle pourra remarcher, elle pourra revoir sa Princesse. Et papoter 10h de suite devant des lapins.

J'adore quand elle dégaine les armes perso.

Maiiiiiiis, je suis même pas encore sauvage là

J'aurais pu faire pire si j'voulais vraiment te le rappeler, mettre un avatar avec l'une des ces photos:
http://joseph-gordon-levitt.net/gallery/thumbnails.php?album=95
Hum

JE TE HAIS !

Mais qu'est ce qu'il est sexy quand même.

Nana > Oh vuiiii Et tout le monde viendra me faire un ENORMEEE câlin

Oh oh, on se calme les amis ceci n'est pas un sujet libertin