JOEY ♠ wild child, full of grace.

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© BABY GONE
✿ Johanna Isobel CALLAHAN ✿

Date et Lieu de naissance :

Statut :

Profession :

Caractère :

Si vous étiez un regard ?

Si vous étiez une odeur ?

Si vous étiez un toucher ?

Si vous étiez un son ?

Si vous étiez un goût ?

Ces petits choses qui font que l'on est tous uniques...

Citation :: — Johanna demeure ce qu’on appeler une obstinée de l’existence. Lorsqu’elle à quelques choses à l’esprit impossible de la faire changer d’avis - ou presque - — Fille d’un d'un médecin à grande carrière, elle à toujours connue un univers masculin d’où ses airs de garçons manqués. — Elle est atteinte d’une maladie de cœur qu’elle à découvert tout récemment et refuse de se faire soigner. — Etre en couple et pour elle une vision impossible et dangereuse — Elle fume de temps en temps, plus par angoisse et dépit qu’autres choses. — Diplômée de Colombia à Manhattan, Johanna a préférée mettre un terme à son projet d'écriture histoire de reprendre le gout de l'inspiration intuitive. — Elle mange souvent au cours de la journée mais ne grossit pas pour autant. — A adoptée récemment un petit husky sibérien. — passe très souvent la main dans ses cheveux lorsqu’elle se sent gênée ou quand une idée lui trotte dans la tête. — Traine toujours un sac avec elle. — Est allergique aux fraises et aux pamplemousses. — Ecoute de la musique à toute heure de la journée ou de la soirée. — à la fâcheuse tendance d’écrire constamment, une habitude qui lui manque depuis qu’elle à quitté les bancs de la faculté.

Et toi derrière l'écran !

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JOEY ♠ wild child, full of grace. 604264tumblr_l5rj2c59fW1qbbw9no1_500

BY TUMBLR.

→ If we're doing wrong, we've all done wrong. If we do no wrong I'm sure we would be gone.

Regarder le monde avec des yeux ambitieux, était une vision du monde pour beaucoup d’entre nous. Observer l’existence humaine avec des yeux clairvoyant, était une anticipation de méfiance, qui peut être prévoyait le malheur avant le bonheur. Pour elle, tout semblait différent de la vérité exacte, et ses prunelles intenses pouvaient en dire plus long que ses expressions impassibles. Le regard azuréen porté sur l’horizon du feu qui crépitait tout doucement sous la chaleur des flammes, la jeune américaine jouer quelques accords de dernière minute, sur sa guitare - vieux vestige témoin de sa vie antérieure à San Francisco -. Assise sur les marches du mobil home qu’elle partageait avec son paternel, elle continuait de toiser l’ensemble de la population qui peuplée le camp depuis quelques années. Johanna - plus connu sous l’appellation de Joey - avait toujours connue l’enceinte même de cette communauté quand bien même sa mère à pris le large une bonne quinzaine d’années en arrière, avec pour prétexte de ne plus vouloir séjourner dans cette paix intérieure de la faune et de la flore. Dès lors, la brunette c’était vu vivre tantôt chez l’un, tantôt chez l’autre n’osant guère protester contre cet échange lassant durant la période qu’était l’adolescence ; mais au bout du compte elle devait bien affirmer qu’elle appréciait passer du temps au camp. Son médecin de père n’échangerait sa vie pour rien au monde, et actuellement elle non plus. Son retour au bercail était un choix pour lequel elle avait optée afin de reprendre gout à la vie et pourvoir poursuivre son projet d’écriture. L’ancienne étudiante en littérature avait stoppée ses études pendant un temps en vue de boucler son deuxième manuscrit. Jeune auteure, jeunesse ambitieuse, jeunesse emplit d’une ivresse inconstante. « Alors, encore en train de rêvasser Joey ? ». Répliqua amusement l’ancien militaire, qui les yeux toujours rivaient sur sa partie d’échecs en solitaire, laissa apparaitre un sourire sur son visage quelques peu défraichit par les années. La brune posa doucement son instrument sur les marches, et se leva d’une démarche tranquille en sa direction. « On ne peut rien vous cacher Sergent ! ». Lui dit-elle en rigolant sincèrement dans une marque affectueuse. « Et non, on ne change pas les vieux ronchons comme moi ma grande ! ». Ils rièrent tous deux d’un rire entendu, et dès lors la Callahan en profita pour déplacer la reine de la partie de jeu en cours. « Echec & mat ! ». Une fois de plus le vieil érudit bougonna dans sa barbe, et une énième voix se fit entendre. Il s’agissait d’une jeune adolescente qui a première vue semblait surexcitée. « Sergent vous saviez qu’un nouveau venu vient d’arriver à l’instant ? ». Hochant la tête l’intéressé se laissa tomber au fond de son siège de camping. Il était souvent le cas, que ce personnage haut en couleur de guerre soit au courant de l’arrivée des derniers arrivants. « Oui, c’est un jeune homme qui suivait des études en médecine d’après ton père. ». Dit-il en toisant la Callahan d’un regard sérieux. Derechef, elle fronça légèrement les sourcils quelques peu surprise par ses paroles. A son tour, lorsqu’elle était venu rejoindre ses pairs antérieurs, sur la route elle avait fait la connaissance d’un américain de Los Angeles qui avait eu ce tracé professionnel. Elle secoua la tête pour balayer cette pensée de son esprit afin de poser de nouveau son attention sur le sujet en cours. « Il est là bas ! ». Reprit la plus jeune. Ses perles vertes s’attardèrent alors sur la silhouette de l’inconnu, celui qui faisait tant parler de lui, mais aussi celui avait l’avait connu de manière personnelle.

(…)

Il y avait quelques jours encore, elle se demandait pourquoi elle n’avait pas fait le rapprochement direct entre les dires de Basile et ce qu’elle avait pu en comprendre. Qu’elle idiote ! Elle sortait de la bibliothèque lorsqu’elle le vit en train de discuter avec quelques gamins du camp. Vision qu’il lui arracha un sourire timide mais sincère aux commissures de ses lèvres. Sourire que l’américain semblait avoir remarqué même de loin. Il la toisa de manière insistante mais aucune méchanceté ne s’en dégageait bien au contraire. Son regard pivota une fois de plus vers la fuite, une situation plus simple sur le moment présent.

FLASH BACK.

« Je t’offres un verre ? ». Johanna se mit à rire d’un air plaisantin. « Cela ne servira à pas grand-chose tu sais, dès demain je reprends la route. ». Le grand brun haussa les épaules sans départir de sa proposition et reprit. « Justement c’est qu’une soirée Johanna, alors il n’y a pas de mal de boire un verre entre deux jeunes gens qui allaient dans la même direction ? ». Il la considéra d’un sourire approbateur, ce qui finalement décida la jeune écrivain. « Et tu vas dans quel coin ? ». « Un coin paumé dans le Colorado, et toi dis moi ? ». Elle serra ses lèvres en une ligne une mince et reprit sur une intonation mystérieuse. « Là où la vision du monde me laissera avoir de l’inspiration et revoir un peu les membres de ma famille. ». Ils avaient passés toute une nuit à parler au comptoir d’un bar de route, à dialoguer sur la vision d’une existence qu’ils voyaient plus ou moins de la même manière, à en apprendre un minimum sur leur vie respective et tant d’autres choses. Et puis un peu plus tard dans la nuit, Basile était venu chercher les lèvres de la mystérieuse, qui ne le repoussa pas. Une nuit qu’ils avaient passés ensemble, qu‘ils pensaient l‘un comme l‘autre sans lendemain en vue de leur projet bien trop différent. Un faux semblant, une situation étrange mais de réels sentiments c’était développés ce soir là sans qu’aucun d’eux ne le demande. Au petit matin lorsqu’elle se réveilla, elle le vit entrain de l’observer avec une expression qu’elle ne comprit pas. Basile l’embrassa une nouvelle fois de manière un peu plus passionné, mais elle l’arrêta en glissant un doigt sur ses lèvres. Le silence semblait parlait pour eux. Leur chemin les a éloignés un temps pour se jouer d’eux une fois de plus, fichu hasard !

FLASH BACK END.

Johanna passa une main dans sa chevelure quelques peu ondulée, tout en lui jetant une dernière œillade de curiosité. Elle ne pourrait pas le fuir éternellement maintenant qu’il venait de s’installer ici, mais pour le moment c’est tout ce qu’elle a trouvée pour ne pas avoir à se retrouver en face de lui.

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BY TUMBLR.
→ For every step in any walk, any town of any thought i'll be your guide. For every street of any scene, any place you've never been i'll be your guide.

Ce matin là comme certain parmi tant d’autres l’américaine c’était levé de bonne heure, impossible de dormir, incapable de se raisonner à vouloir fermer les yeux. C’était comme ça, elle ne cherchait pas plus loin. L’initiative du cours d’eau lui étant venue à l’esprit, elle prit un canoë et sans hésitation rama quelques temps pour se retrouver au milieu et apprécier ainsi le va et vient des légères vagues. Sortant de son sac en bandoulière son calepin d’écriture et un stylo, elle laissa son imagination coucher sur papier des mots puis de longues phrases. Le regard vrillant sur chacune des pages qu’elle écrivait rapidement, elle ne se souciait aucunement de ce qui pouvait l’entourer, jusqu’à que son prénom accroché aux lèvres d’un jeune homme, ne vienne la tirer de son activité prenante. « Joey ! ». L’auteur de son appellation se révélait être Tristan, une personne qu’elle connaissait de puis son enfance lorsqu’elle venait passer quelques temps au camp. Ils avaient réussit à garder plus ou moins contact et ils demeuraient tous deux des meilleurs amis. Le dénommé Tristan, lui fit alors de grands signes des bras de la terre ferme où il se trouvait actuellement. A son tour Johanna lui fit comprendre qu’elle préférait rester encore un peu. C’est alors qu’elle le vit se jeter à l’eau et nager jusqu’à elle. Le canoë quelques peu bancal bougeait un peu plus cependant, mouvement que la brune tenta de stabiliser. Elle rangea ses écrits à l’intérieur de son sac, et c’est avec une main en visière qu’elle tenta de recouvrir la vision de son camarade d’autrefois. Il surgit alors par l’arrière du bateau la faisant tomber à l’eau au passage. Un rire amusé et moqueur s’échappa de ses lèvres. Nageant jusqu’à la surface, la jeune femme remit ses cheveux en arrière, et tapa avec conviction son ami sur l’épaule. « C’est malin ! Maintenant je peux dire adieu à ce que je venais d’écrire. ». Elle le toisa d’une œillade furieuse quelques minutes puis finit par en rigoler à son tour. « Non, vraiment sincèrement désolé ma grande ! ». Elle secoua négativement la tête pour lui indiquer que ce n’était pas grave du tout, il n’y avait pas mort d’hommes si ce n’était de mots tout simplement. Ils rièrent d’un sourire entendu et regagnèrent ensemble le bout de terre ferme. Joey s’installa sur le petit ponton tout en essorant ses cheveux, son interlocuteur l’imitant à son tour. « Il faut que je te parle, voilà la raison de ma venue ce matin. ». Elle haussa les épaules, une expression interrogatrice sur le visage. « Je t’écoute, tu sais que tu peux me parler de ce que tu veux ? ». Le regard du blond se posa au large du paysage, une habitude chez lui lorsqu’il cherchait les mots appropriés. « J’ai remarqué que récemment tu évitais le nouveau. ». Son assertion raidit légèrement l’ancienne universitaire en littérature, qui lui répondit d’une intonation détachée. « En même temps, il y a quelques arrivants et non je n’évite personne. ». « Joey … Il s’agit de ce type venant de Los Angeles c’est ça ?! ». Sa voix était pleine de reproches, et soudainement elle ne comprit pas où il désirait en venir. Cette discussion ne menait nulle part le concernant. « Calme-toi Tristan ! Oui j’ai un passé si on peut le voir ainsi avec lui, mais je ne vois pas en quoi ça te regarde ? ». Il soupira d’énervement, se redressa de toute sa hauteur en n’accordant aucun regard à Johanna. Cette dernière secoua son visage, déçu par le comportement inattendu de sa connaissance d’antan. Tristan tourna son regard sombre au loin vers la route du camp, lorsqu’il aperçu l’élément perturbateur de ses problèmes actuels, le dénommé Basile. Ce dernier observait la jeune auteure, qui elle-même prenait soin de ne pas croiser son regard. Le mécanicien, quitta les lieux sans un mot, préférant réfléchir avant d’agir certainement.

Kristen & Blue Bird brill

L'avatar est sublime ! Bienvenue I love you

Bienvenue

Invité

Gloomy avec Elizabeth brill

Oui l'avatar est superbe (a) merci beaucoup I love you

Joshua, JGL I love you

& merci beaucoup (a)

Invité

désolée du DP mais je pense avoir terminé (:
c'est pas extra donc s'il faut changer quelques choses c'est sans soucis (a)

Peut-être, au niveau des particularités, ne pas les mettre en citation pour faciliter la lecture. Sinon je ne trouve rien à redire.

JE VALIDE rock

Une Capricorne. brill

Bienvenue (avec un p'tit peu de retard, sorry). Embarassed

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